27/01/2018

Fauteuil confort roulant manuel pliant Weely Nov (Innov'sa)

Fauteuil de confort pouvant être autopropulsé, très maniable grâce à ses 6 roues et le positionnement de ses grandes roues pour faciliter la propulsion par son occupant même en position inclinée.


Voir la vidéo DEMO WEELY NOV

Confort, maniabilité et sécurité

Le fauteuil roulant de confort Weely Nov, grâce à ces réglages multiples s'adapte à la morphologie de chacun. Son dossier est doté de sangles élastiques ajustables.

La position centrale des roues permet à son occupant d'être autonome dans ses petits déplacements quotidiens. Stable même en position inclinée à 35°. Il dispose d'une ceinture ventrale ajustable pour plus de sécurité.

Doté d'un châssis 6 roues avec amortisseurs le fauteuil roulant de confort Weely Nov permet une maitrise parfaite des trajectoires ainsi qu'une grande maniabilité (effet compas : tourne à 360 °) 

Le fauteuil roulant de confort Weely Nov dispose de roulettes avant avec suspension (6 pouces) et arrière (5 pouces) ainsi que d'un châssis avec amortisseurs ce qui lui permet de franchir des obstacles allant jusqu'à 13 cm.

Comme tous les produits Innov SA le dossier, l'assise, l'appui tête, les accoudoirs sont composés de couette hyper confort, amovible, remplaçable et lavable 30°. Le reste étant capitonné pour amortir chocs et limiter les risques de blessures.

La couette constituée de 5 éléments dissociables offre 4 Design de fauteuil.

Réglage sans à-coups des repose-jambes.

Le fauteuil roulant de confort Weely Nov est pliant ce qui facilite le transport.

Caractéristiques techniques du Weely Nov

  • Largeur d'assise : 39, 44 ou 49 cm
  • Réglage d'assise en largeur : + 5 cm
  • Largeur hors tout : largeur d'assise + 18 cm
  • Profondeur d'assise : de 32 à 41 cm
  • Hauteur sol / siège : 48 cm sans couette / 54 cm avec couette
  • Hauteur de dossier : 70 à 79 cm
  • Inclinaison d'assise : 0° à 20°
  • Inclinaison du dossier : 85° à 120°
  • Longueur hors tout sans repose pieds : 95 cm
  • Longueur hors tout avec repose pieds : 115 cm
  • Longueur du repose jambes : 40 à 60 cm
  • Poids du fauteuil avec ses accessoires : 38 kilos
  • Potences de repose pieds réglables en largeur (+5 cm) et profondeur (+9 cm)
  • Palettes de repose pieds réglables en angle, hauteur et profondeur
  • Accoudoirs réglables en hauteur (+7 cm) et amovibles
  • Dimensions pliées : longueur 81  x largeur hors tout  x profondeur : 68 cm
  • Châssis : acier
  • Poids : 38 kilos
  • Poids maximum  de l'utilisateur : 140 kilos
  • Couleur : gris titane / noir
  • Revêtement : couette noire
  • Options disponibles : tablette latérale / tablette ventrale / coussin assise visco classe II

Informations et liens complémentaires

les livres du handicap

Le handicap est un sujet immense (ce site s'en veut le reflet), et qui touche tous les aspects de l'expérience humaine; les livres "sur le handicap" ou évoquant celui-ci sont donc nombreux avec des approches très différentes de celui-ci

Pour certains professionnels de la santé, le handicap est intimement lié à leur travail quotidien, pour d'autres (DRH, responsables,) il est une nouvelle variable qu'ils n'étaient pas toujours habitués à manier. Pour certains (sociologues, philosophes), il peut être un sujet d'étude et de réflexion. Pour un politique, il sera un élément à intégrer à son action alors que, pour des millions de citoyens (personnes en situation de handicap, parents, aidants)  il fait juste partie du quotidien...

Toutes ces approches ont généré une littérature spécifique, dédiée au handicap et aux personnes handicapées et qui répond aux différentes aspirations des lecteurs (explication du handicap à un jeune public, préparation, d'examens, annonce du handicap, sujet d'études ou d'analyse).

Malheureusement, il est parfois compliqué de repérer ou d'avoir accès à tous ces livres, nous avons essayé dans cette rubrique de vous donner quelques pistes de départ...

 

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11:43 Publié dans Livre | Lien permanent | Commentaires (0)

Alerte : soignants à bout, patients en danger !

Valérie Sugg, psychologue dans un service de cancérologie hospitalier, a été à l'écoute depuis 20 ans des personnes malades, de leurs proches mais, ces dernières années, aussi de soignants auxquels elle a prêté son oreille et son temps. Elle en fait le récit dans son nouveau livre L'hôpital : sans tabou ni trompette, aux éditions Kawa (23,95 €).

Handicap.fr : Votre constat sur notre système de soins est amer. C'est ce que vous révélez dans votre nouveau livre L'hôpital : sans tabou ni trompette. 
Valérie Sugg : En effet. Il a pris un chemin de traverse depuis trente ans. Les dirigeants se sont gargarisés de cette médecine française réputée mondialement, de ses médecins innovants mais, voilà, les soignants ce ne sont pas que les médecins mais des équipes composées de différents corps de métiers qui tentent de faire entendre l'impasse dans laquelle nous entrons, dangereusement.

H.fr : Vous déplorez un système de soins vieillissant et un management d'un autre temps…
VS : Ou, bien sûr. Il était nécessaire, bien entendu, de mettre en place une stratégie pour juguler l'hémorragie financière hospitalière qui n'a pas su prendre le problème à sa base, qui a voulu soigner les causes mais pas la maladie. Car c'est le système de soins lui-même qui est malade. Trop d'administratifs, de chefs, de sous-chefs et pas assez de soignants, plus assez ; bon nombre ont été remerciés ou dégoûtés. Le constat est le suivant : des investissements financiers mal gérés, un matériel de plus en plus vétuste mais aussi un management par la dévalorisation, la culpabilisation, la déshumanisation progressive des soins.

H.fr : Les soignants refusent de devenir des techniciens du soin centrés sur la rentabilité... 
VS : Il s'agit, peut-être, d'un problème de mentalité et il ne concerne pas que le domaine de la santé. Le management hospitalier a choisi de « gérer » le personnel soignant essentiellement par la pression, la culpabilisation, le chantage au patient : « Restez encore sinon le pauvre patient il n'aura pas… » sa soupe, son traitement… Mais aussi la dévalorisation, la répression au travers, par exemple, de la notation annuelle qui devrait servir pour établir un projet commun, stimuler, encourager, valoriser mais qui, le plus souvent, ne fait que permettre ou bloquer l'évolution du salaire. Cette politique de rentabilisation, qui n'a pas voulu tenir compte des particularités du milieu des soins, fait souffrir ceux qui y travaillent face aux personnes malades ou résidents.

H.fr : Dans ces circonstances, les soignants maltraités peuvent-ils devenir, à leur tour, maltraitants ?
VS : D'une certaine façon, oui, bien malgré eux. C'est une forme de maltraitance subie par le chirurgien lorsqu'il est interpellé au bloc opératoire parce qu'il ne va pas assez vite et que le patient suivant est déjà endormi et qu'on lui demande d'accélérer, en pleine opération. C'est une forme de maltraitance quand on demande en Ehpad à une aide-soignante de faire la toilette de douze à quinze personnes le matin ou d'être seule aide-soignante présente la nuit pour cinquante résidents. C'est une forme de maltraitance que d'exiger d'une infirmière qu'elle reste une heure de plus parce que la chimio de madame D. n'est pas terminée et que l'infirmière de soir est déjà débordée. C'est aussi une forme de maltraitance que de remplir les rendez-vous de consultation rendant impossible le fait de prendre les personnes à l'heure ou alors en faisant des consultations « express » qui ne prennent plus le temps d'écouter les particularités de chacun. Par conséquent, les soignants deviennent maltraitants puisque leur temps est quasi chronométré. La recommandation d'une toilette en 6,66 minutes début 2017 est à l'image de ce qui se passe en milieu hospitalier, en Ehpad, en maison de retraite, et nous sommes tous concernés. Cette douche que les soignants n'ont parfois le temps de faire qu'une fois par mois, ce repas servi froid, ce pipi qui n'attendra pas l'arrivée de l'aide-soignante, toutes ces « petites » choses rendent le quotidien des soignés douloureux.

H.fr : Vous critiquez également les responsables des structures de soins, les jugeant parfois « incompétents » ?
VS : Il faut bien oser le dire ! Certains le sont parce qu'ils dirigent des centres de soins sans jamais avoir mis un pied dans un service ni y avoir travaillé. Ils subissent aussi, sans aucun doute, la pression des économies à faire après tant d'années de gaspillage à tous les étages. À titre d'exemple, quand une infirmière m'explique que l'hôpital a changé de fournisseur de compresses pour un moins cher mais que, du coup, il en faut trois à la place d'une pour le même résultat, elle est où l'économie ? Ou quand un aide-soignant me raconte qu'il a dû changer son résident qui s'était souillé à mains nues parce qu'il n'y a plus de gants en stock, que dire ? Qui est responsable ? Le directeur de l'établissement qui, lui, n'est pas confronté à ce que cela fait vivre aux équipes et aux soignés de si douloureux ! Ce manque d'humanité en dit long sur la façon dont chacun est considéré ou pas.

H.fr : Certaines cadences infernales imposées aux soignants ont un impact majeur sur leur moral. Des exemples concrets ?
VS : Ce mode de gestion des soins engendre en effet chez les soignants de la gêne, du dégoût, de la honte et, trop souvent aussi, de la culpabilité. Aucun soignant ne peut être fier d'une patiente dans la cinquantaine, épuisée par sa chimio et hospitalisée depuis une semaine, qui ne peut pas bénéficier d'une douche. Aucun soignant ne peut se satisfaire que seuls douze résidents d'une Ehpad sur quatre-vingt puissent être sortis l'après-midi dans la cour ou accompagnés en salle d'animation. Aucun soignant ne peut être insensible à un jeune patient, vingt-cinq ans qui tremble de froid à l'accueil des urgences sur le brancard en plein courant d'air car la porte est cassée depuis trois mois et n'a pas été réparée. Aucun soignant ne peut se réjouir de cette autre patiente en fin de vie qui supplie qu'on la soulage, mais qui est face à un interne, seul cette nuit-là, qui ne sait quoi faire parce qu'il remplace un médecin manquant. De ce fait, ils sont malheureux, les soignants, parce que s'ils ont choisi de devenir soignants c'est justement parce qu'ils avaient un idéal. Ils ont choisi ce métier pour aider, accompagner, guérir aussi.

H.fr : Face à ce constat, des soignants se mettent en grève, se révoltent, parfois se suicident aussi... 
VS : Heureusement, il reste des services, des lieux de soins où tout se passe bien mais, dans la plupart, c'est la bérézina. Sinon pourquoi tant de grèves, de SOS, de suicides chez les soignants et sur leur lieu de travail ? Ça a du sens, non ? Ils ont honte, se sentent « complices » du système puisqu'incapables de s'y opposer. Ils subissent ou, s'ils tentent de suggérer, ils ne sont que trop rarement entendus. Pourtant, c'est bien eux qui sont en contact avec les personnes malades, les résidents, qui connaissent les besoins et ont des idées pour améliorer la situation. Mais, voilà, plus personne ne prend le temps de les écouter. Tout soin doit devenir rentable. Le premier objectif n'est plus de soigner un être humain malade, accidenté, vieillissant mais d'être une source de profit. Partout. Même le parking devient payant !

H.fr : Existe-t-il néanmoins des solutions ? A-t-on des raisons d'être optimistes ?
VS : Il faudrait faire évoluer les mentalités avec un management par la valorisation, l'encouragement. La gestion des centres de soins doit être faite par des gens dont c'est le métier afin d'éviter tous ces gaspillages, ces erreurs d'aiguillage. Donner des moyens aux soignants pour bien faire leur travail, les écouter, entendre ce qu'ils proposent et les considérer. Cette considération ne coûte rien mais réchauffe le cœur, augmente l'estime de soi et rend meilleur. Il y a beaucoup de bonnes volontés mais le système les a écrasées. Elles ne demandent qu'à rénover, améliorer, et ce n'est pas qu'une question d'argent.

 

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"Tous droits de reproduction et de représentation réservés.© Handicap.fr. Cet article a été rédigé par Emmanuelle Dal'Secco, journaliste Handicap.fr"

Astéréotypie : des chanteurs autistes qui déménagent !

Yohann, Stanislas, Aurélien, et Kévin ont entre dix-neuf et vingt-quatre ans et sont porteurs d'autisme. Ce sont des auteurs talentueux et des artistes hors-pair que l'on surnomme les « 4 fantastiques », réunis au sein du collectif Astéréotypie. Ils ont travaillé d'arrache-pied pour leur second album L'énergie positive des Dieux. Son premier titre, intitulé Colère (vidéo ci-dessous), dénonce le regard que la plupart porte sur l'autisme avec une sincérité profonde.

Une rencontre au détour d'un atelier

Yohann, Stanislas, Aurélien, et Kévin ont entre dix-neuf et vingt-quatre ans, et sont atteints d'autisme. Ce sont des auteurs talentueux et des artistes hors pairs. Leur histoire débute en 2010 à l'institut médico-éducatif de Bourg-la-Reine (92), au détour d'un atelier d'écriture et de poésie. Passionnés de musique, ils décident de monter ensemble un groupe de post-rock-garage, un style de musique tendue, épique, presque cathartique. Le projet est rendu possible grâce au soutien de Claire Mahé et Christophe Lhuillier, éducateurs spécialisés. « On a commencé avec 4-5 jeunes par des textes, pour faciliter l'expression, confie Christophe Lhuillier. Puis j'ai sorti une guitare et commencé à mettre de la musique sur leurs mots. Assez rapidement, ils ont écrit des paroles que je n'attendais pas. Comme « Le cachet », sur le rapport au traitement médicamenteux. C'était très touchant ; j'avais l'intuition que ce qu'ils disaient pouvait intéresser des tas de gens. » Le groupe fait preuve d'une volonté à toute épreuve qui le pousse à donner le meilleur de lui-même. Ce projet éducatif et artistique a permis à ces jeunes de prendre confiance en eux.

Leur univers, leurs pensées…

Parfois durs, souvent drôles, mais toujours poétiques, les textes sont posés sur une musique électrique et post-rock acoustique. Les auteurs évoquent leur univers dans des poèmes au ton décalé mais aux qualités esthétiques certaines. Le son est un mélange de garage-rock qui tabasse et de spoken word, au carrefour du théâtre, de la poésie et de la chanson. L'objectif de ce projet est que les adolescents puissent s'exprimer librement, sans censure ni retenue. Le son, les mots qu'ils emploient, la façon dont ils les prononcent et l'émotion qu'ils dégagent sont puissants et aboutis. Ce sont leurs phrases, leurs idées, travaillées et affinées par eux-mêmes. Les paroles sont universelles et questionnent la réalité. Le collectif parle principalement de l'acceptation de l'autre et des regards en coin. Ils racontent leur sentiment d'exclusion ou de toute puissance, leurs envies, leurs craintes. Les jeunes hommes se succédant au micro, une feuille à la main, clamant des textes parlés avec une intensité profonde. Des mots qui racontent la banalité de leur quotidien dans un univers poétique unique.

Davantage de notoriété

Astéréotypie monte pour la première fois sur scène en 2011, au sein du réseau institutionnel. Leur premier album, sorti en janvier 2013, est le fruit de plus de deux ans de travail pendant lesquels ces jeunes se plient aux contraintes liées à l'écriture et à la pratique musicale. Il est suivi, en 2015, d'un concert au festival Sonic Protest, puis de la première partie de Moriarty à l'Olympia, un groupe qui lui accorde son indéfectible soutien. En 2014, Arthur B. Gillette, l'un des membres de ce dernier, réalise même une création radiophonique sur leur projet pour France culture. Ces expériences enrichissantes permettent au collectif de gagner en notoriété. Cette initiative fait la preuve que le handicap n'est pas un frein et que tout est possible lorsqu'on ne ménage ni sa volonté ni sa passion.

Astéréotypie signe, par la suite, chez Air Rytmo (le label créé par Moriarty), son second album : L'énergie positive des Dieux. Déjà enregistré, sa sortie est prévue le 3 mars 2018. On y retrouve Arthur B. Gillette à la basse.

© Astéréotypie

 

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Sur le web

11:36 Publié dans Musique | Lien permanent | Commentaires (0)

Fauteuil roulant actif personnalisable : l'Élan (Le Fauteuil roulant Français)

Fauteuil léger à châssis fixe et réglable pour un usage intérieur, extérieur. Totalement produit en France.

Avec un design épuré, sobre et moderne, le fauteuil roulant manuel actif Élan est entièrement réglable et son look entièrement personnalisable.

Réglages précis, solidité, durabilité et maintenance facile 

  • Châssis, dossier, repose-pieds, assise sont configurables, tous les éléments géométriques sont réglables en continu afin que chacun puisse personnaliser son fauteuil à sa morphologie mais aussi à ses envies
  • Pare jupe solidaire de la roue, réglage de hauteur en continu 
  • Pivot de roues jockey avec roulement inox
  • Interface mécanique par serrage 4 points (potence essieu - mat) 
  • Visserie inox

Caractéristiques techniques du fauteuil roulant Élan

  • 2 modèles de fauteuil : avec pare jupe ou avec boomerang
  • Freins poussants FRF ou ciseaux.
  • Tissus et surpiqure : 10 choix de coloris
  • Châssis en "V" en aluminium anodisé avec traitement thermique 
  • Roues arrières : 24 pouces ultra light
  • Finitions : anodisées et peinture poudre époxy 
  • Barres, essieu, repose-pieds, potences, parejupe, tissus sont configurables et peuvent être de 10 couleurs différentes. Configurateur de fauteuil complet et facile sur le site.
  • Largeur d'assise : 36, 39, 42, 45 cm 
  • Profondeur d'assise : 36, 39, 42, 45 cm
  • Hauteur de dossier : 25, 30, 35, 40 cm
  • Carrossage des roues arrière : 0°, 2°, 4°
  • Hauteur sol - assise avant : de 41 à 52 cm 
  • Hauteur sol - assise arrière : de 39 à 48 cm 
  • Largeur totale : 53 à 62 cm 
  • Longueur totale : de 79 à 86 cm 
  • Poids : 7,9 kilos sans les roues arrière
  • Poids maximum utilisateur : 100 kilos
  • Pente maximale de sécurité : 7°
  • Rayon de giration : 99 à 123 cm

À venir un fauteuil roulant français léger et maniable pour la pratique du sport (en photo n°3)



Prix indicatif : 3480 € (peut varier suivant taille, options,...).

 

Informations et liens complémentaires